À Reims, un pépiniériste transforme son appartement en plantation de cannabis

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Il louait un appartement à Croix-du-Sud mais n’y habitait pas : tout le logement était consacré à la culture de plants de cannabis et le jeune homme exerçant la profession de pépiniériste, la production était florissante. L’odeur a fini par incommoder le voisinage.

Roméo Péron a la main verte. Ça tombe bien, il est pépiniériste. « J’ai rarement vu d’aussi beaux plants », le complimente d’ailleurs le substitut du procureur. S’il se retrouve devant le tribunal, c’est parce qu’il ne met pas ses talents uniquement au service de la culture des tomates et des salades. Lorsqu’il a emménagé avec sa compagne, c’était la première fois qu’il allait vivre avec quelqu’un.

Il n’était pas sûr que ça allait marcher alors il a gardé son ancien appartement « au cas où ». Vidé de ses meubles, le logement est finalement transformé en une impressionnante plantation de cannabis. « Je fumais, j’en avais marre d’acheter et de me faire arnaquer. Un ami m’a proposé d’en faire pousser, je me suis procuré des graines et je me suis lancé. »

 

Roméo Péron a la main verte. Ça tombe bien, il est pépiniériste. « J’ai rarement vu d’aussi beaux plants », le complimente d’ailleurs le substitut du procureur. S’il se retrouve devant le tribunal, c’est parce qu’il ne met pas ses talents uniquement au service de la culture des tomates et des salades. Lorsqu’il a emménagé avec sa compagne, c’était la première fois qu’il allait vivre avec quelqu’un.

Il n’était pas sûr que ça allait marcher alors il a gardé son ancien appartement « au cas où ». Vidé de ses meubles, le logement est finalement transformé en une impressionnante plantation de cannabis. « Je fumais, j’en avais marre d’acheter et de me faire arnaquer. Un ami m’a proposé d’en faire pousser, je me suis procuré des graines et je me suis lancé. »

 

 

Il investit dans des lampes chauffantes, un système hydraulique et une ventilation. Ses connaissances en jardinage feront le reste. La première récolte est un succès. « On était à trois dessus, on a tout fumé. On a recommencé et je me suis fait prendre », commente le jeune homme de 25 ans qui refuse de donner le nom des autres jardiniers « par peur des représailles ».

 

ARTHUR DE LA ROCHE / Avocat : EN SAVOIR +