Quatre condamnations après les violents affrontements au centre-ville de Reims entre bandes d’Orgeval et de Croix-Rouge

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Le 6 février 2020, devant une foule effarée, des affrontements avaient éclaté place du Théâtre entre jeunes d’Orgeval et de Croix-Rouge. Ils s’étaient donné rendez-vous pour en découdre, à la suite de précédentes violences.

Deux cambrioleurs condamnés à Reims pour une série de raids dans l’Aisne, la Marne et les Ardennes

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Reconnus coupables d’une douzaine de vols dans la Marne, l’Aisne et les Ardennes, les deux prévenus avaient sévi pendant un mois et demi avant que les forces d’élite de la gendarmerie ne leur tombent dessus.

Un recours envisagé devant la Cour européenne des droits de l’Homme

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Avocat du mis en examen, Me Arthur De La Roche est évidemment déçu par l’arrêt de la Cour de cassation. « Il est problématique de dire que le principe est de se prononcer sur l’existence d’indices graves ou concordants mais que si le juge des libertés et de la détention ne le fait pas, ce n’est pas grave, la chambre de l’instruction rectifiera son erreur. Un principe ne vaut que s’il existe une sanction. En jugeant que l’absence de toute motivation n’est pas sanctionnée par l’annulation, la Cour de cassation vide ce principe. On parle tout de même de la détention provisoire d’un homme présumé innocent. »

 

L’avocat « étudie la possibilité » d’attaquer l’arrêt devant la Cour européenne des droits de l’Homme.

Marne : mis en examen pour trafic de stupéfiants, il est remis en liberté grâce à une incohérence juridique

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Interpellé fin octobre dans le secteur de Sainte-Ménehould par les gendarmes marnais, appuyés par le GIGN, un homme impliqué dans un trafic de drogue et incarcéré, a finalement été remis en liberté. Son avocat a utilisé une faille dans la procédure. Le Parquet général a décidé de saisir la Cour de cassation.

Le poursuivant du policier coursé à son tour

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Le 17 août, deux jours après l’agression du policier adjoint, Jahid Benrazek est repéré rue Landouzy dans sa BMW, (qu’il conduit sans être titulaire du permis). Deux fonctionnaires lui intiment l’ordre de sortir en le mettant en joue. Il accélère, ils doivent s’écarter. Un véhicule se met en barrage. La BMW s’arrête, puis repart en marche arrière alors que les deux policiers se portent à sa hauteur. Une nouvelle fois, ils doivent s’écarter.